Située à 380 kilomètres de la capitale Nairobi, cette communauté appelée Umoja a èté fondée sur le principe durespect des droits des femmes, jusqu’alors négligés. Elles vivent dans des huttes, sans eau potable. En 2003, elles ètaientquarante femmes et cent enfants. Elles sont facilement reconnaissables à la quantité de bijoux qu’elles portent sur le buste, les oreilles et les cheveux. Le village abrite de nombreuses èpouses du clan Samburu. Ces femmes,marquées physiquement et psychologiquement par la violencede leurs maris, trouvent ici un refuge et une famille. Les femmesélèvent seules leurs enfants, des deux sexes, qu’elles gardent avec elles. Les relations sexuelles sont acceptées mais doivent avoir lieu en dehors du village. Le principe du village va au-delà de la protection des femmes.Une èducation leur est donnée. Dès leur plus jeune âge, les enfants apprennent à ècrire, lire et compter. Il est essentiel pour la communauté que leurs enfants acquièrent cette capacité à quitter le village lorsqu’ils seront adultes. Cela leur permettra de se marier etde trouver du travail pour une vie meilleure. Ces femmes sont plus communément appeléesToumaï,ce qui signifie “espoir de vie”. Le village comprend désormais une aire de camping et un centre culturel. La cause qui anime ses habitants attire de nombreuses personnes de l’extérieur. Il est devenu unevéritable attraction touristiquemalgré son manque de notoriété au Kenya.
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